LOSC : Daniel Riolo exige de voir Lille en demi-finale de la Conférence League !

Dans l’After Foot où il sévit depuis de nombreuses années, Daniel Riolo, expert en football, s’est exprimé sur la saison du LOSC. Il qualifie l’équipe de Paulo Fonseca, comme l’une des potentielles vainqueurs de la Conférence League.

Depuis l’arrivée de Paulo Fonseca à Lille, la saison passée, Daniel Riolo, célèbre chroniqueur de l’After Foot, sur RMC, trouve le jeu lillois très bon. Si les résultats ne sont pas encore au rendez-vous, il qualifié les Dogues comme l’une des meilleures équipes de Ligue 1.

Du coup, Daniel Riolo s’est exprimé sur la Conférence League. Il voit les joueurs du LOSC termine premier de leur groupe et faire une belle compétition. La concurrence, l’effectif lillois, lui font penser que ne pas aller en demi-finale, serait un échec.

« Je ne veux pas tomber dans le raisonnement du 100% blé, mais Lille, quand tu regardes la compétition, les joueurs qu’ils ont et la concurrence, tu peux exiger une demi-finale. C’est ce qui devrait être leur objectif. Il faut qu’il soit fidèle à leur rang, sans être prétentieux. »

Daniel Riolo

Le chroniqueur de l’After ajoute même que les Lillois sont plus forts que des clubs des Pays-Bas, Belgique ou Portugal.

« Si je suis président de club, je peux mettre une clause dans un contrat qui mentionne le fait de ne surtout pas se faire éliminer par des Tchèques, voire même les Hollandais et les Portugais, parce que tu n’es pas censé, logiquement, te faire éliminer par des équipes qui ont un budget bien inférieur au tien.

Cependant, il convient que le football n’est pas une science exacte et que sur deux matchs, tout peut arriver.

Dans un autre cadre professionnel, je sais que le football n’est pas mathématique, mais si je suis président d’un club et que je compare ça à la Coupe de France, je ne peux pas supporter de me faire taper par un club de National par exemple. C’est la beauté du sport, peut-être, mais à partir du moment où je fais partie de ce business, je ne peux pas l’accepter. C’est peut-être ce niveau d’exigence que l’on n’a pas assez dans nos clubs ».