Ce dimanche 19 février, HBO dévoile le premier épisode de sa nouvelle série : Big Little Lies. Créée par David E. Kelley, cette série s’annonce comme étant le nouvel Desperate Housewives. Tous les ingrédients sont réunis pour sa réussite, comme le casting 5 étoiles et l’histoire de meurtre !
Ce dimanche 19 février, la série américaine Big Little Lies arrive sur HBO (Home Box Office), la chaîne de production de Game of Thrones, Westworld ou Les Sopranos. Il s’agit d’une adaptation en 7 épisodes du roman de Liane Moriarty du même nom. Et elle vaut le détour !
Une intrigue insoutenable
Dans une petite ville américaine, alors qu’une fête parents/élèves se déroulent tranquillement et sans le moindre problème dans une école, un meurtre survient au sein de l’établissement. Trois mères (Madeline, Celeste et Jane) dont la vie semble réellement parfaite, sont alors mêlées à ce meurtre et feront tout pour sortir indemne de cette situation. Meurtre, enquête, amitiés, conflits et fragilité dans la vie parentale et conjugale, tout est mis en scène pour passer un agréable moment rempli de suspense devant la télé !
Un casting 5 étoiles
Dans cette mini-série de HBO, rien n’est fait au hasard. Encore moins le casting étonnant et détonnant. En effet, les personnages sont des acteurs très connus du monde du cinéma. Par exemple, le personnage Madeline Martha Mackenzie est incarnée par l’actrice Reese Witherspoon (Wild, Target, Fear). Nicole Kidman (Australia, Eyes Wide Shut) interprète Celeste Wright, alors que Shailene Woodley (Divergente, Nos étoiles contraires) incarne Jane Chapman. Elles jouent toutes les trois les rôles principaux. Mais d’autres noms ronflants font leurs apparitions. C’est le cas d’Alexander Skarsgård (True Blood, Tarzan) dans le rôle de Perry Wright, Zoë Kravitz (Twelve, Divergente) dans la peau de Bonnie Carlson ou encore Laura Dern (Jurassik Park 3, Wild, Traqués) dans le rôle de Renata Klein.
Un air de Desperate Housewives
Dans cette mini-série de 7 épisodes, on retrouve un peu de Desperate Housewives. D’après le journal américain The Washington Post, il existe de nombreuses similitudes entre la série de David E. Kelley et de Marc Cherry, le créateur de Desperate Housewives. En effet, les personnages de DH, à savoir Susan, Lynette, Bree et Gabrielle vivaient très bien, tout comme les femmes de Big Little Lies, riches et adèptent aux tâches ménagères. De plus, elles emploient un langage très satirique et un vocabulaire assez cru. Est-ce suffisant pour assurer et conquérir le public ? Ce public qui avait tant aimé Desperate Housewives en 2004, année du lancement de la première saison, avec près de 24 millions de téléspectateurs. Réponse dans quelques semaines !
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